Quel Label participatif choisir ?

Quel Label participatif choisir ?

…Que Choisir ?

Histoire de fêter dignement l’arrivée de « All in My Music » et « StationTubes » dans le petit monde des labels participatifs et en attendant que Kiss Kiss Bank Bank lève le voile sur son service, on a décidé de se donner des airs de « Que choisir ? ».

Amis Artistes, amis internautes-producteurs et amis rien du tout, si l’aventure des labels communautaires vous chante, avant de vous lancer tête baissée dans l’aventure, découvrez en un coup d’œil les bons comme les mauvais élèves du secteur…

Tout le monde au tableau et que ça saute…

labelsparticipatifs_tableau

Tous voisins de paliers ?

Le principe même des « sellabands-like » est d’imposer des paliers d’investissement. La somme à atteindre est fixée arbitrairement par le site pour l’ensemble des projets. Ce qui peut j’en conviens paraître un peu étrange, les coûts de production d’un disque pouvant varier considérablement selon l’avancement d’un projet, le style musical, etc. AkaMusic en Belgique a sur ce terrain déjà fait la démonstration de ses facultés d’adaptation le groupe « Louiz » a pu passer à la production de son album en atteignant le palier single (15.000 euros au lieu de 50.000 euros) puisque l’album était pratiquement déjà en boite lors de la levée de fonds.

Bien sûr, plus élevé est le palier de production, plus longue est la levée de fonds. Mais le facteur temps n’est pas la seule donnée à prendre en compte. Chez StationTubes et AkaMusic, le palier de production d’un single est par exemple 5 fois plus élevé que chez No Major Musik. Du côté album chez All in My Music et Spidart, on produit des albums pour deux fois moins d’argent que My Major Company. Il existe donc une vraie disparité des paliers, qui se traduira forcement par une disparité des moyens alloués à un projet à l’instant de sa mise en production. Levée de fonds rapide ou budget confortable, deux logiques qui s’affrontent… À vous de choisir !

Des labels généreux avec les artistes ?

Globalement plus que les maisons de disques. Les pourcentages reversés aux artistes oscillent entre 20 et 40%. My Major Company fait office de mauvais élève de la classe en offrant deux fois moins à ses artistes que StationTubes, AkaMusic et No Major Musik. Your Music Hall se place très près du radiateur en appliquant des paliers de reversement de 20 à 25% selon les ventes.

Les bons élèves : No Major Musik, Aka Music, Station Tubes ( 40%)
Balle au centre : Spidart (35%) All In My Music (33%)
Les mauvais élèves : My Major Company ( 20%) Your Music Hall ( de 20 à 25%)

Des internautes récompensés … Ou pas !

On retrouve la même configuration sur le reversement aux internautes à l’exception de Your Music Hall. Le site propose un reversement lié à des paliers de ventes :
– 60% jusqu’à 16 000 exemplaires vendus
– 35% à partir de 16 001 exemplaires jusqu’à 25 000 exemplaires vendus
– 30% au delà de 25 000 exemplaires vendus

On nous annonce que ces seuils pourront être différents selon les Artistes et les albums et qu’il s’agit donc d’une moyenne à titre d’exemple. En gros plus l’artiste vendra de disque, plus l’internaute verra sa part diminuer. Et il faudra donc voir au coup par coup avec chaque artiste.

Les bons élèves : No Major Musik, Aka Music, Station Tubes (40%)
Balle au centre : Spidart (35%) All In My Music (33%)
Les mauvais élèves : My Major Company (30%)
Un peu compliqué mais pas idiot : Your Music Hall  et son pourcentage flottant destiné à favoriser un retour rapide sur investissement (de 30 à 60%)

Les labels participatifs sont ils gourmands ?

Le glouton de la classe est My Major Company qui se réserve la moitié du gâteau. C’est le régime pour AkaMusic, StationTubes et NoMajorMusik qui se contentent de 20% . Au centre à respectivement 30 et 34 %, Spidart et All In my Music. Conséquence de la répartition par palier, la part de Your Music Hall est calculée au cas par cas et selon les ventes.

Les bons élèves : No Major Musik, Aka Music, Station Tubes (20%)
Balle au centre : Spidart (30%) All In My Music (34%)
Les mauvais élèves : My Major Company (50%)
Compliqué à determiner : Your Music Hall (selon ventes)

Des Chiffres oui mais pas seulement

Même si le tableau comparatif ne fait pas honneur à la star des labels participatifs, My Major Company conserve sa longueur d’avance (tant pis pour ceux qui ne sont pas fans !). Le site à la direction artistique affirmée (très peu d’artiste) et dont le fonctionnement est très proche de celui d’un label classique a su faire de Grégoire un véritable (et le seul à ce jour dans le secteur) succès populaire. Même si tout a un prix. Le site s’est fait une spécialité des levées de fonds rapides (au point devoir mettre en place des règles pour lutter contre la spéculation). L’album d’Agonie, la rappeuse produit en un clin d’œil sur la plate forme, est lui, passé plus inaperçu. Le lancement attendu de Thierry De Cara, troisième artiste MMC est en cours. Bonne chance à lui !

No Major Musik poursuit sa route en se liant avec ROY Music. Les artistes du labels sont désormais présents sur le site (Mademoiselle K, Boulbar, etc…). Le premier single produit (The Vernon Project) s’est vendu à 7742 exemplaires (Source NMM en mars 2009) et les internautes producteurs ont donc récupéré 72,26% de leur mise à défaut de faire de bénéfice. Remarqué sur le site, le groupe « LYS » et son single « In my mind » a fait son petit bout de chemin. Un partenariat avec la chaîne MTV et Game One devrait permettre aux artistes d’avoir des mises en avant télévisées (regarde maman, je passe à la télé). Un partenariat avec Endemol doit permettre au groupe « The enjoy » d’être au centre d’une émission de télé réalité « The road of fame ». Bref, voilà une plate forme qui se bouge.

Spidart, premier label participatif en France, n’a pas encore connu le succès avec son premier artiste produit « NAOSOL » mais compte bien refaire son retard avec Xavier V Combes dont le CD est attendu le 22/09/2009 en sortie nationale. Sortie d’une zone de turbulence avec l’affaire Mattrach, le guitariste prodige qui a claqué la porte du label une fois le palier de production depassé, Spidart a fort à faire avec pas moins de 9 albums à produire dont quelques noms connus : Anesa, Jessica Marquez ou Selen. Il y a donc des artistes de qualités et du pain sur la planche du site Lyonnais. La plate forme a pour se faire, su s’entourer de partenaires de renom : Music Media Consulting pour la promo, Emi Publishing et Discograph pour la distribution. Puisse l’album d’XVC mettre le site en orbite !

AKAMusic a fait grand bruit en signant la distribution de ses artistes avec Universal. Les premières productions sont toutes d’excellente qualité (les promos envoyé aux blogueurs m’ont emballé). Il ne manque au site que sa première grande Success story. Aka vient de se lier avec Beleive Digital pour sa distribution numérique. On retrouve en catalogue Leopold Nord… et eux (C’est l’amour) et Gautier Reyz (Star academy). Le plus belge des labels participatifs est en marche. On croise les doigts pour eux.

Et les petits nouveaux

All in My Music, Station Tubes et Your Music Hall ont désormais à faire leurs preuves dans un marché fortement concurrentiel… Bonne chance à eux… Affaire à suivre…

bidibule

24 commentaires sur “Quel Label participatif choisir ?

  1. J’aimerais comprendre comment fonctionne la part internaute et la part site.
    Si je comprends bien sur My Major Company, il faut lever 100 000 euros des internautes ? Est ce que MMC investit en plus des 100 000 euros aussi ?
    Ensuite la part site est prise quand ? Une fois que les internautes sont remboursés ou dès le premier CD vendu ?

  2. Très bon article, et je suis ravie de voir que nous sommes ‘dans la moyenne’… A venir cependant sur Allinmymusic.com, un nouvel habillage, de nouvelles fonctionnalités et de belles surprises…
    Peut-être passerons nous en tête de ton classement ? 😉

  3. Akamusic partage également ses droits d’édition avec les producteurs 40% 🙂 Je pense que ce sont les seuls.

  4. Bravo pour l’article.
    Je voudrais souligner un point et non des moindres.
    Akamusic redistribue aussi 40% des droits d’éditions sur les morceaux produits. Nous sommes, je pense, les seuls à le faire et ces montants peuvent représenter des montants très importants en cette période de baisse de vente de disques…
    Bon we

  5. @Cedric, questions très intéressantes dont je ne connais pas la réponse et auxquelles j’aimerais aussi connaitre les réponses !

  6. Moi je suis producteur sur Akamusic et je suis fier de voir qu’ils sont en haut du panier!!!

    Je sais qu’ils sont N°2 en nombre de producteurs et qu’en plus ils partagent l’édition avec nous.

    BRAVO AKAMUSIC!!!!!!!!

  7. Pour ceux qui n’ont rien « capté » sur Your Music Hall, sachez que le label donne 60% des parts aux producteurs jusqu’à ce qu’ils se soient remboursés, donc 20% pour les artistes et 20% pour YMH. Ensuite 30% pour les producteurs, 25% pour les artistes, et 45% pour YMH.
    Je ne les vois pas si près que ça du radiateur, d’autant qu’ils ne kidnappent pas les éditions de leurs artistes, mais les partagent pour les aider à faire de la scène….

  8. Votre remarque en ce qui concerne le pourcentage flottant selon vente de YMH est très bonne . Dans l’épisode 2 de ce « Comparatif », nous verrons qu’il s’agit d ‘un mécanisme destiné à favoriser un retour sur investissement rapide.

    Afin de ne laisser planer aucun doute et de proposer la vision la plus juste et neutre possible à nos lecteurs, J’ai décidé de modifier l’article en ligne dès aujourd’hui. Le but de ce comparatif étant d’essayer de comprendre ce que proposent vraiment les labels participatifs à travers les documents (CGU,FAQ) disponibles en ligne.Ce qui n’est pas vous en conviendrez je pense , une si mince affaire 🙂

    Pour ce qui est de la rémunération des artistes , Le positionnement de YMH est certes justifié par le pourcentage flottant mais rappelons tout de même que 3 sites proposent 40% des gains net , c’est à dire le double de YMH jusqu’ au retour sur mise des producteurs. Ce qui explique son mauvais classement dans la catégorie rémuneration des artistes.

    Je suis preneur de toute information sur le partage des droits d’édition , si vous en avez , je suis preneur pour l’épisode 2.

  9. Merci pour votre réponse et pour la modification de votre article.
    Je me renseigne auprès d’eux pour le pourquoi du reste de vos interrogations qui concernent surtout les artistes, car étant producteur chez Your music hall, j’avoue ne pas m’être autant renseignée sur les artistes que sur les producteurs.
    Enfin effectivement je comprends pour vous la difficulté à voyager entre chaque faq de chaque site, je l’ai fait aussi, mais j’avais trouvé qu’à ce niveau là justement, Your music hall avait l’air assez clair, moins opaque que d’autres. Mais bon..
    A suivre donc…

  10. @Cedric : Bidibule prépare un deuxième épisode de ce comparatif auquel nous devrions obtenir réponse à tes questions (enfin, on espère car tout est toujours très flou et pour démêler tout ça, ce n’est pas évident)

  11. Voici ci-joint en copier/collé le message que vient de me faire passer Your music hall. Merci à vous..

    Jusqu’à ce qu’ils se soient remboursés de leurs mises, Your Music Hall reverse à ses Producteurs, 60% de l’argent encaissé sur les ventes de disques de leurs Artistes, puis 30% après. Les Producteurs étant les principaux investisseurs au départ, il est normal qu’ils soient les principaux bénéficiaires dès les premières ventes.
    Les Artistes perçoivent 20%.
    Il reste également à Your Music Hall 20% tant que tous les Producteurs ne se sont pas remboursés, puis 50%.
    Tous ces pourcentages s’entendent après marge du distributeur.
    A partir de 200 euros de mises sur 1 Artiste, le Producteur reçoit chez lui en avant première l’album de son Artiste dès qu’il est terminé. (c’est la moindre des choses).
    Les royalties sont payées à partir du premier disque vendu (ventes digitales ou mécaniques).
    La barre est à 75 000 euros pour produire, promotionner, et commercialiser l’album de chaque Artiste. Your Music Hall est à même de pouvoir financer un surplus de coût pour la réussite de l’album de chacun de ses Artistes.
    En ce qui concerne les éditions, les contrats sont faits Artiste par Artiste, selon les désirs et les revendications de chacun. Certains de nos Artistes gardent leurs éditions, d’autres nous les cèdent en partie ou en totalité. L’argent obtenu par Your Music Hall par ce biais, est utilisé, par exemple, pour aider au développement de ses Artistes sur scène.
    En ce qui concerne le pourcentage attribué aux Artistes : les nôtres, comme ceux de MMC ne perçoivent que 20% des royalties, et comparé à la plupart des autres Sites, cela ne représente effectivement qu’à peu près la moitié.
    Pour explication : le but d’un Label, n’est pas de distribuer des royalties importantes pour attirer un maximum d’Artistes et de Producteurs, mais de faire en sorte que chaque disque produit, promotionné, et commercialisé, le soit dans de bonnes conditions et souvent avec de gros moyens. C’est notre philosophie. C’est pourquoi nous sommes prêts à investir (avec nos propres fonds) en plus des 75 000 euros de base, pour donner vraiment toutes ses chances à un Artiste, plutôt que de lui concéder un pourcentage plus important, et de ne faire son album qu’avec l’argent prévu au départ.
    Pour finir sur ce point, même si la logique ne fait pas partie de ce métier et que notre vérité n’est pas forcément La Vérité, nous pensons que le fait d’investir davantage, en moyens, en effectifs et en temps, doit permettre d’aider au succès d’un album, et à vendre donc plus de disques..
    20% de : plus de disques vendus, vaut mieux que 40% : de moins de disques vendus !! Bon c’est un débat, je vous le concède, c’est juste notre idée. Tout cela est très aléatoire et ne trouvera pas forcément la conclusion voulue et anticipée, mais nous pensons que MMC est dans le vrai là aussi.
    Quoiqu’il en soit, nous ne voyons pas les autres Sites comme des concurrents, mais plutôt comme des partenaires, des alliés et des « buzzers », car le succès de chacun de nous, prouvera la valeur économique de tels Sites et leur donnera du crédit auprès des Internautes. Nous ne pouvons donc que nous souhaiter beaucoup de succès à tous, et pérenniser notre entreprise à long terme..

    Your Music Hall….

  12. Bravo pour l’Article qui est vraiment très bien fait !

    Pour info, http://www.stationtubes.com partage également les éditions. 40% producteurs, 40% artiste et 20% éditeur.

    Un tournage vidéo acompagne également l’artiste dont le budget de production est arrivé à 100000 €uros sos forme de télé réalité « like PopStars » afin de permettre aux producteurs de se rendre compte comment est investi leur argent et de suivre pas à pas tout le processus de production.

    Chris
    Stationtubes.com

  13. Akamusic est celui qui a le plus bel avenir, avec une gestion équilibrée, des artistes de talents.

    fuyez mymajorcompany qui n’a été monté que faire un buzz autour d’un seul artiste-copain-copain… 50% de part pour le site, pire que les Majors, on croit rêver!

  14. Merci Bidibule pour cet exercice difficile et utile à tous. Moi j’aimerais bien savoir de quoi vivent les sites en question en dehors des ventes.
    Est-ce qu’une partie du budget à atteindre va au site pour le financer ou tout est investi dans le projet (enregistrement et promotion) ?
    Ce qui me gêne dans tout ça, c’est que les sites ne prennent aucun risque, ils jouent avec l’argent des internautes…
    Avec le succès de Grégoire MMC s’est autorisé de passer à un budget de 100 000 Euros. Combien faut-il générer de ventes pour atteindre une telle somme ? Je pense que c’est tellement énorme que bien des producteurs aveuglés vont y laisser des plumes. L’argent ne fait pas le succès, même s’il le favorise.

    NoMajorMusik discute au cas par cas avec les artistes produits pour savoir s’ils partagent leurs droits d’édition. Mais que je sache dans ce cas ces droits d’édition sont partagés avec NoMajorMusik, pas avec les producteurs. Ceux-ci sont rémunérés sur les ventes de singles exclusivement, pas sur les concerts, ni sur le reste, qui pourrait aussi générer des revenus conséquents. Je ne sais pas pour les autres sites mais ça me paraît une donnée fondamentale dans le choix !

  15. excellente synthèse.

    L’album de Naosol est excellent, dommage que le bouche à oreille ne marche pas bien pour un duo au niveau de bien des productions internationnales plébiscitées par critique et public

  16. @Alias Docteur House
    Un contrat artiste en Major c’est 12% quand tu t’appelles Madonna, moins de la moitié pour un artiste inconnu.

    Prochainement, la suite du comparatif .. Vous verrez qu’il n’est pas si facile d’y voir clair ce qui est proposé aux artistes et aux internautes …

    En attendant j’ai publié sur mon blog :
    http://www.bidibule.fr ( et bientôt sur Ziknblog)
    Les interviews de My Major Company,your Music Hall et aka music ( D’autres à venir )

  17. Bravo pour l’article, enfin quelque chose de clair et preci.
    Juste une precision à tous.
    Ces sites qu’on appelle label participatif ne sont qu’un moyen detourné de produire de la musique à la maniere d’une major en se faisant passer pour des passionnés faisant ca pour l’amour de la musique… La part reversé aux « parieurs » represente une somme ridicule (meme en cas de gros carton façon gregoire) par rapport à ce qu’encaisse le label. les gens sont content d’avoir gagné trois francs six sous sans jamais se demander ce que gagne le site…
    Faite le total des sommes engagés sur my major company en ce moment par exemple, vous obtenez une somme tres tres rondelette sur leur compte en banque, ce qui leur octroit un chiffre d’affaire a faire palir n’importe quelle entreprise et leur permet d’avoir une tresorerie a toute epreuve. Tout ca sans rien sortir de leur poche (c’est vous qui payez la production des albums) et avec la possibilité de faire la culbute en cas de succes… C’est meme pire qu’une « vraie » major, puisque celle ci investie son propre argent pour produire les disque. La conclusion de tout ca, c’est que la musique ne s’en sort pas du tout grandi, les fondateurs de ces sites oui. Petit bémol pour aka music. ils ont l’honneteté de partager les editions, et ils sont je pense les seuls à le faire. Sachant que depuis la baisse phénomenale de la vente de disque, les editions sont devenu le nerf de la guerre puisqu’il n’y a quasiment plus que ça qui rapporte encore de l’argent… à bon entendeur, salut.

  18. Chez akamusic, nous tenons à ce que le succès d’un artiste soit répercuté sur les producteurs. C’est d’ailleurs vital pour que le système fonctionne! Nous ne gardons que 20% des ventes (50% chez MMC) et redistibuons 40% des ventes et de l’édition (nous sommes effectivement les seuls).

  19. C’est vraiment une bonne chose de partager les droits d’édition, à condition que le label participatif ait la compétence pour placer la chanson. En tout cas c’est une grande source de motivation pour le label et les producteurs, qui peut au final rapporter plus à l’artiste…

  20. C’est bien 60% des ventes. Oui, mais seulement, les disques ne se vendent plus de tout!!

    Alors, ce qui est mieux, ce sont les droits d’éditions que Akamusic et
    Stationtubes distribuent.

    Pour moi, c’est Akamusic le meilleur site vu qu’il y a un choix varié d’artistes (il y en a pour tous les goûts) et qu’en plus, pour l’achat d’une part minimum, on reçoit un cd dédicacé!! 😉

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