Et si la musique était gratuite…

Et si la musique était gratuite…

Acheter le livre La Révolution Musicale sur AmazonLe Français Philippe Axel a sorti au mois de novembre dernier un livre intitulé : La révolution musicale – Liberté, égalité, gratuité préfacé par Jacques Attali. Philippe et son livre seraient plutôt iconoclastes, comme le définit Jerôme Colombain lors d’une entrevue sur France Info en direct dans la rubrique “Nouveau Monde”.

À l’encontre du rapport Attali, il y avait le rapport de la commission Olivennes et il y a maintenant officiellement le ministère français de la Culture et de la Communication. En effet, la ministre Christine Albanel a annoncé lors du Midem qu’un projet de loi antipiratage sera déposé au Sénat à la fin du mois de mars prochain afin de l’adopté le plus tôt possible soit, avant l’été. Cela implique une opposition à l’éventuelle retour de proposition de licence globale proposé par Jacques Attali.

Ailleurs, la SAC (Songwriters Association of Canada) offre une proposition des auteurs et interprètes d’enregistrements sonores Canadiens pour un modèle de monétisation des partages de fichiers musicaux numériques.
Et vous, de quel camps êtes-vous ?

Sincever

Fondatrice de Zik'n'Blog.com et de musiQCnumeriQC.ca à la fois discrète, passionnée et rassembleuse, cette baladeuse numérique adore découvrir de nouvelles musiques et applications musicales. Par contre elle manque cruellement de temps et attend que la musique et les applis lui soient présentées, alors n'hésite pas à lui envoyer un petit message! Plus d'info sur elle via son twitter.com/sincever et son blogue perso : Sincever.com

3 commentaires sur “Et si la musique était gratuite…

  1. La proposition de la SAC va clairement dans une direction intéressante… mais je suis curieux de connaître les réactions des boulimiques du peer to peer, qui eux semblent très très loin d’une conception « équitable » des rapports public/créateurs. Si la gratuité des échanges numériques est inexorable – elle l’est – comment la bâtir sur le respect des auteurs, et pas sur le mépris dont on fait preuve envers les faibles ? Mépris directement issu du monde marchand qui n’accorde sa considération qu’aux « recettes » ? J’essaie d’y voir clair dans un manifeste, digital outsiders, dispo – gratuitement – sur notre site : http://www.derviches.com.
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